Le 8 mars 2025, c'était la Journée internationale des droits des femmes—le moment parfait pour mettre en avant une entrepreneuse. Et qui de mieux que Sylvie de Madame Vélo ? Son nom parle de lui-même : Sylvie répare des vélos avec passion depuis 25 ans. Où tout a commencé Son aventure dans le secteur du vélo a commencé en 2000, lorsque son compagnon de l'époque a ouvert un magasin de cyclomoteurs. Sylvie s'est lancée dans le projet à condition que des vélos soient également vendus et entretenus. "C'était l'âge d'or des cyclomoteurs, mais je sentais que leur popularité allait diminuer." Après avoir suivi les formations nécessaires et acquis de l'expérience, Sylvie est devenue une réparatrice de vélos confirmée. Il y a quatre ans, elle a ouvert son propre magasin : Madame Vélo, situé à la Gentpoortstraat à Bruges. "Le nom vient bien sûr du français, mais dans le dialecte brugeois, ces mots sont aussi souvent utilisés. Aujourd'hui, tout le monde m'appelle Madame Vélo, et j'adore ça !" Une offre complète pour chaque cycliste Chez Madame Vélo, l'accent est mis sur les vélos électriques, les speed pedelecs et les vélos pliants électriques. Elle a délibérément retiré les vélos de ville sans assistance de son assortiment. Sa collection d'accessoires est soigneusement sélectionnée et complète parfaitement son offre en magasin. "Les antivols et les sacoches sont les produits les plus vendus, et je remarque une forte augmentation de la demande pour les casques. La sensibilisation à ce sujet progresse rapidement !" Les développements en matière de micromobilité Sylvie observe l'évolution de l'industrie du vélo, mais elle constate aussi des défis importants, notamment en matière de réglementation et de technologie. "Il y a encore beaucoup de choses à changer au niveau gouvernemental. Prenons l'exemple des speed pedelecs : ils n'ont tout simplement pas de place adaptée dans la circulation. Ils ne conviennent ni aux pistes cyclables ni à la chaussée. Pourtant, on réfléchit à peine à ce problème, même dans les nouveaux développements." Selon Sylvie, cette situation est à la fois dangereuse et illogique. "Comment peut-on justifier que les speed pedelecs partagent la route avec des piétons, des enfants à vélo, des trottinettes et des vélos cargo ? Il est urgent de mettre en place une meilleure infrastructure et une réglementation claire." Outre les problèmes d'infrastructure, Sylvie voit aussi des opportunités au sein de l'industrie du vélo, notamment en ce qui concerne les batteries. "L'industrie du vélo a déjà fait d'énormes progrès, mais les batteries peuvent et doivent encore évoluer. Une batterie de vélo est soumise à de nombreuses contraintes : elle doit être aussi compacte et tendance que possible pour s'intégrer au vélo, mais cela se fait souvent au détriment de la performance et de la durabilité." Elle reste toutefois optimiste pour l'avenir : "Je prévois des percées dans ce domaine dans les années à venir. Il y a encore un grand potentiel dans la technologie des batteries, et cela peut avoir un impact majeur sur le secteur du vélo." La force de Madame Vélo Dans un monde où les grandes chaînes et les boutiques en ligne prennent de plus en plus de place, le service personnalisé devient un véritable atout. C'est là que Sylvie se distingue. "Je connais chaque client et je sais exactement ce dont il a besoin. Qu'ils m'appellent ou qu'ils passent en magasin, c'est toujours moi qui leur réponds. Je vends les vélos moi-même, je les répare moi-même et je réponds personnellement à toutes leurs questions." Cette approche directe et de confiance permet aux clients de toujours savoir à quoi s'attendre. Ainsi, son magasin peut offrir ce petit plus en termes de service. "Cela devient aujourd'hui rare dans tous les secteurs. Mais un vélo est un produit qui nécessite un service approfondi. Il faut aussi être capable de résoudre d'éventuels problèmes provenant du fabricant. C'est pourquoi je connais chaque produit de mon magasin sur le bout des doigts." Une source d'inspiration Chez elle, Sylvie a clairement transmis sa passion pour un métier artisanal. Sa fille aînée commencera ses études supérieures l'année prochaine et, tout comme sa mère, elle ne veut pas d'un emploi de bureau. "Elle souhaite exercer un métier où les gens se disent : waouh, une femme qui fait ça ?!" Ainsi, Sylvie reste une source d'inspiration pour sa fille et pour d'autres femmes qui souhaitent se distinguer dans des métiers souvent perçus comme masculins. PENDLR : le partenaire de la micromobilité Chez PENDLR, nous partageons la vision de Sylvie de Madame Vélo : le service personnalisé et la passion pour la qualité sont primordiaux. En tant qu'entrepreneuse, Sylvie sait mieux que personne à quel point il est important d'innover en permanence et de répondre aux attentes de ses clients. Souhaitez-vous élever votre passion pour le vélo et le service client à un niveau supérieur ? Ou souhaitez-vous acquérir une machine de rodage ? Devenez client chez PENDLR et découvrez comment nous pouvons soutenir votre entreprise avec plus de 23 000 produits, 160 grandes marques et un service fiable.
Le 9 mars 2025
•Bram van Duinen
•5 min. de lecture
Lorsque l’on parle de vitesse, on pense souvent en premier lieu au trafic automobile. Pourtant, la vitesse joue également un rôle de plus en plus important dans la micromobilité. Avec l’essor et la popularité croissante des nouvelles formes de micromobilité, différents types de véhicules, avec des vitesses variées, partagent de plus en plus souvent les mêmes routes et pistes cyclables. De plus, les villes et leurs environs restent marqués par un mélange complexe de circulation motorisée et de micromobilité. Comment pouvons-nous assurer une cohabitation sûre et efficace de ces différents flux de transport ? Micromobilité : Plus rapide grâce à une infrastructure intelligente Des villes comme Amsterdam ont pris des mesures pour améliorer la fluidité du trafic cycliste. Un exemple notable est la "knip" de la Weesperstraat, où la rue a été temporairement fermée à la circulation automobile de transit. Cette mesure a entraîné une réduction de 18 % du trafic automobile et a amélioré la qualité de vie et la qualité de l'air dans le quartier. De telles initiatives contribuent à réduire les embouteillages et permettent aux cyclistes d’atteindre plus rapidement leur destination. Les défis des différences de vitesse sur les pistes cyclables L’essor des vélos électriques et des speed pedelecs a introduit de nouvelles dynamiques sur les pistes cyclables, notamment en matière de vitesse. Un cycliste classique roule en moyenne à 15 à 20 km/h, tandis qu’un vélo électrique atteint facilement 25 km/h, et un speed pedelec peut atteindre 45 km/h. Ces écarts de vitesse peuvent créer des tensions et des situations dangereuses sur les pistes cyclables très fréquentées. À Amsterdam, un projet pilote est en cours pour rediriger les cyclistes plus rapides, tels que les speed pedelecs et certains vélos électriques, vers la chaussée au lieu de la piste cyclable. Les premiers résultats montrent que de nombreux cyclistes perçoivent cette mesure comme positive : les pistes cyclables deviennent plus sûres et plus confortables, tandis que les cyclistes rapides bénéficient d’une meilleure fluidité sur la route. La Belgique adopte également des solutions adaptées. Des panneaux de signalisation spécifiques ont été introduits pour indiquer si les speed pedelecs doivent rouler sur la piste cyclable ou sur la route. Cette réglementation claire aide les cyclistes à mieux comprendre leur place sur la route, réduisant ainsi la confusion et les situations dangereuses. La micromobilité : clé d’un accès facilité aux villes Bien que la vitesse soit un facteur clé de la mobilité, il s'agit avant tout d’un équilibre entre efficacité, sécurité et durabilité. La micromobilité – qu’il s’agisse de vélos, de vélos électriques, de speed pedelecs ou de trottinettes partagées – offre des solutions qui permettent non seulement de réduire le temps de trajet en évitant les embouteillages, mais aussi de favoriser un environnement urbain plus sain et plus propre. En investissant dans des infrastructures adaptées, telles que des pistes cyclables plus larges, des feux intelligents et des zones à circulation réduite, les villes peuvent rendre la micromobilité plus sûre et plus attrayante. Dans le même temps, une réglementation claire est essentielle pour gérer les différences de vitesse sur les routes et les pistes cyclables. Des initiatives telles que les zones de vitesse réglementées, la signalisation spécifique pour les speed pedelecs et les projets pilotes visant à déplacer les cyclistes rapides sur la chaussée montrent comment les villes s’adaptent à ces évolutions. Restez informé de l’avenir de la mobilité avec PENDLR Les modes de déplacement évoluent rapidement. Que ce soit l'impact de la vitesse sur la micromobilité, l'optimisation des infrastructures ou les dernières innovations en matière de pièces et d’accessoires pour vélos – PENDLR suit ces tendances de près. Vous souhaitez en savoir plus sur la manière dont la micromobilité réinvente les déplacements urbains ? Ou recherchez-vous des pièces et accessoires de vélo de haute qualité pour offrir le meilleur à vos clients ? Devenez client chez PENDLR dès aujourd’hui ! Ensemble, rendons les déplacements quotidiens plus flexibles, efficaces et durables !
Le 4 mars 2025
•Bram van Duinen
•4 min. de lecture
Que ce soit en empruntant un vélo électrique depuis la gare jusqu'au travail, en utilisant un v »lo cargo pour aller au marché ou en vous déplaçant rapidement en trottinette jusqu'au centre-ville, la micromobilité est omniprésente et nous prévoyons qu'elle continuera de se développer. Voici les sept principales tendances de la micromobilité. Qu'est-ce que la micromobilité ? "La micromobilité, c'est l'utilisation de moyens de transport légers, sains et durables pour les déplacements quotidiens dans la ville et ses alentours." Des centres-villes sans émissions Les centres-villes sans voitures et les zones à faibles émissions sont désormais bien connus. Pour réduire considérablement la pollution de l'air dans les villes, ces dernières deviennent de plus en plus écologiques en gérant mieux les émissions. Ces zones, appelées zones à faibles émissions, signifient que les voitures, camions et autres véhicules de transport de marchandises ne peuvent entrer dans certaines zones que s'ils roulent sans émission ou utilisent des moyens de transport moins polluants. Si ce n’est pas le cas, il est conseillé de se garer à l'extérieur de ces zones et de poursuivre le trajet vers le centre avec un moyen de transport alternatif. Dans certaines villes (BE), un pass journalier peut être demandé pour accéder à la zone. Dans les zones zéro émission, tous les véhicules doivent être sans émission. Le transport de marchandises à base de gaz ou de diesel devra donc passer aux véhicules électriques ou trouver d'autres solutions pour livrer des colis, des stocks ou de la nourriture chaude. Premiers et derniers kilomètres en micromobilité Les centres-villes deviennent de plus en plus encombrés, les voitures sont de plus en plus exclues, et les embouteillages s'allongent. Cela nous amène à la tendance suivante : parcourir les premiers et derniers kilomètres en utilisant des moyens de transport légers. En d'autres termes, combiner différents moyens de transport pour atteindre votre destination finale de manière plus facile, plus rapide et plus durable. Derniers kilomètres Vous commencez votre voyage en voiture, vous la garez dans une station de mobilité, puis vous poursuivez avec un vélo électrique que vous avez réservé à l'avance. Les avantages ? Éviter les embouteillages dans les centres-villes et conserver toute votre flexibilité. Premiers ét derniers kilomètres en micromobilité Vous commencez votre voyage avec un vélo (pliable), puis vous continuez avec les transports en commun pour finalement arriver à votre destination en trottinette. Les avantages ? Pas d'attente pour les correspondances de bus, profiter du paysage et éviter tous les embouteillages. La popularité des moyens de transport légers Les vélos tout-terrain et les vélos électriques deviennent de plus en plus des symboles de mode, et les trottinettes et fatbikes sont de plus en plus populaires chez les jeunes. Les pistes cyclables sont désormais partagées avec de nombreuses variétés de moyens de transport différents. La micromobilité gagne en popularité, et investir dans des moyens de transport de qualité qui sont également amusants à utiliser et à exposer devient de plus en plus important. On pourrait dire que la micromobilité devient un mode de vie, n'est-ce pas ? 😉 Éviter les embouteillages Nous en avons déjà parlé précédemment, mais la congestion autour des centres-villes, des zones industrielles et des routes populaires augmente. Vous passez plus de temps dans les embouteillages, et d'autres types de moyens de transport deviennent de plus en plus attrayants. Parfois, même les personnes qui n'aiment pas du tout faire du vélo trouvent que c'est une option séduisante pour arriver plus rapidement à destination sans frustration. Et c'est aussi plus sain. L’importance accrue des accessoires et de l'entretien De plus en plus de gens optent pour des moyens de transport légers, que ce soit pour remplacer leur (deuxième) voiture ou pour rendre leurs trajets quotidiens plus efficaces, plus flexibles ou plus agréables. S'arrêter en chemin n'est pas une option, et les accessoires pratiques qui facilitent le voyage ou le rendent plus confortable sont un excellent complément. Un imperméable respirant, un sac pour ordinateur portable que vous pouvez facilement fixer à votre porte-bagages, un éclairage solaire ou une fourche cargo qui transforme chaque vélo en biporteur compact. Investir dans des accessoires pratiques et un bon entretien garantit un plaisir durable ! Bien équipé pour transporter plus Que ce soit avec un triporteur pour les colis ou le courrier, un vélo-cargo pour les livreurs, ou un longtail pour les trajets scolaires, nous recherchons de nouvelles façons de transporter nous-mêmes, nos courses et nos enfants avec tous leurs sacs d'école et de sport. Mais aussi dans le secteur professionnel, pour la livraison de courrier et de colis, pour les techniciens qui doivent se rendre rapidement d'un client à l'autre, et pour les livreurs qui doivent livrer rapidement des repas chauds. On recherche activement des alternatives aux camionnettes de livraison et aux voitures, notamment dans les centres-villes sans voitures et les zones sans émissions. De notre point de vue, c'est une évolution positive ! Vivre de manière plus saine et plus durable Cela peut sembler cliché, mais une tendance majeure se dessine en faveur d'un mode de vie plus sain et plus respectueux de l'environnement. La durabilité est devenue une préoccupation majeure pour les consommateurs et les entreprises, notamment en réaction à la crise énergétique et aux factures d'énergie élevées. Nous sommes de plus en plus conscients de notre consommation énergétique, privilégiant de plus en plus les moyens de transport électriques au détriment des véhicules à essence ou diesel. Dans le tourbillon quotidien, la santé mentale et physique occupe également une place plus importante. Notre désir est de mener une vie à la fois plus saine, plus durable et plus agréable, et c'est là que la micromobilité trouve parfaitement sa place, selon nous. Vous voulez rester au courant des dernières tendances ? Alors, vous savez tout sur la micromobilité. Ou peut-être pas ? Les modes de déplacement urbains évoluent. De nouvelles formes de mobilité en ville émergent et gagnent en popularité. La micromobilité est en plein essor, et nous sommes là pour vous tenir informé. Suivez PENDLR pour les dernières actualités et mises à jour !
Le 24 sept. 2024
•Danique Jans
•5 min. de lecture
Chez PENDLR, notre mission est de rendre les déplacements quotidiens plus flexibles, plus efficaces et plus respectueux de l’environnement. Si nous ne rejetons pas complètement la voiture, nous croyons fermement au pouvoir du vélo et d'autres formes de micromobilité. Cette vision correspond parfaitement au message de la Semaine européenne de la mobilité, qui a lieu cette semaine. Un élément clé de cette semaine est la journée sans voiture, un symbole puissant pour des choix de transport plus durables. Les origines de la journée sans voiture La journée sans voiture a une histoire intéressante. Elle a vu le jour aux Pays-Bas et en Belgique lors de la crise de Suez en 1956, lorsque les réserves de pétrole limitées ont conduit à l'introduction de dimanches sans voiture. Cette initiative s'est répétée lors de la crise pétrolière de 1973, mais cette fois à l'échelle mondiale. Dans les années 1990, la journée a pris un nouveau sens : la sensibilisation à l'environnement. En 1998, plusieurs villes françaises ont lancé leur propre journée sans voiture, avec le soutien du ministère français de l'environnement. Cette initiative réussie a finalement abouti à la création de la Journée européenne sans voiture, qui a été intégrée à la Semaine européenne de la mobilité en 2002. Cette semaine offre aux villes une plateforme pour mettre en avant les options de transport respectueuses de l'environnement, telles que le vélo et les transports publics. Le passage à des transports plus durables Ces dernières années, l'environnement et le développement durable ont fait l'objet d'une attention croissante, et la manière dont nous nous déplaçons au quotidien joue un rôle important à cet égard. Dans de plus en plus de villes, le nombre de voitures est délibérément réduit pour faire place à des moyens de transport plus propres et plus efficaces. Cette transformation est bien visible dans des villes comme Paris, où une étude de l'Institut Paris Région (IPR) montre que les vélos sont désormais plus populaires que les voitures dans le centre-ville. Aux Pays-Bas aussi, le nombre de cyclistes est en nette augmentation. Selon une étude de Shuttel, les employeurs aident leurs salariés à rendre le vélo plus attrayant pour les trajets domicile-travail. En outre, l'utilisation de la micromobilité partagée - comme les scooters électriques et les vélos partagés - a considérablement augmenté ces dernières années. Les données de NUMO montrent que le nombre de villes disposant d'une micromobilité partagée a doublé entre 2019 et 2023. De plus, selon une étude de McKinsey, le nombre de personnes ouvertes à l'utilisation de la micromobilité dans le cadre de leurs déplacements quotidiens est en augmentation. Bien que la voiture reste dominante pour l'instant, les changements vers des options de transport plus durables sont de plus en plus significatifs. Reshaping daily commutes Chez PENDLR, nous sommes également conscients de cette évolution. Bien que la voiture joue encore un rôle majeur, nous croyons à l'utilisation croissante des bicyclettes et d'autres formes de micromobilité pour tous les déplacements quotidiens : des trajets vers le travail et les magasins à la livraison de colis au domicile des clients. C'est pourquoi nous proposons une gamme de produits soigneusement sélectionnés qui favorisent cette mobilité durable. C'est ainsi que nous poursuivons notre mission ! Vous trouverez ci-dessous une sélection de moyens de transport durables dans notre gamme, mais veuillez noter que nous proposons également de nombreuses pièces et accessoires pour ces moyens de transport. Rejoignez notre mission! Vous joindrez-vous à nous pour rendre les voyages quotidiens plus flexibles, plus efficaces et plus respectueux de l’environnement ? Et souhaitez-vous également vendre ces marques uniques et exclusives ? Ensemble, nous pouvons faire la différence!
Le 15 sept. 2024
•Bram van Duinen
•3 min. de lecture
Rendre les déplacements quotidiens en ville plus flexibles, efficaces et écologiques. Nous sommes votre partenaire en micromobilité.